Nous en étions donc à la simulation de notre escalier béton.... Grand bien nous (enfin leur) en a pris de faire cette simulation ! Elle nous a démontré que même avec une certaine expérience en ce domaine, il était toujours possible d'oublier l'épaisseur du plancher dans la prise de cotes de la hauteur totale de l'escalier ! Vous l'aurez donc compris, les calculs étaient faux.
Seconde problématique rencontrée et solutionnée : le mur en parpaing semi-porteur rajouté sous l'escalier en renforcement s'est retrouvé décalé par rapport au chevêtre du dit escalier... (Le chevêtre est la pièce de bois, métal ou béton qui referme la trémie d'un escalier). Solution trouvée : un chevêtre plus large hyper costaud...
Les maçons ont donc démonté le pré-coffrage, refait les calculs avec l'architecte, refait les coffrages et enfin coulé le béton !
En voici le résultat fraichement coulé et photographié.
Quand on aime on ne compte pas... Nous sommes donc maintenant prêts pour calculer le prolongement de l'escalier vers le second étage !
Il se trouve que j'ai justement eu cet après midi en cours un petit topo sur le sujet. Je ne résiste donc pas à l'envie de partager avec vous mes propres calculs pour ce second escalier... et j'attends bien évidemment vos corrections !
Avec une hauteur à monter de 2.8 mètres, je choisis une hauteur de marche de 17,6 cm pour obtenir 16 hauteurs soit 15 marches. Avec un giron de 26.6 cm sur 15 marches, j'arrive aux 4 mètres linéaires de mon escalier (399 cm exactement pour cet escalier à 2 quarts tournants à marches balancées, avec une trémie de 2*2 mètres). Et j'obtiens un ratio de 61.8 par la formule de Blondel ! (cf message de la semaine passée).
Serait-ce trop beau pour être juste ?
Moins technique mais travail d'artiste pour cette reprise de briques sous le linteau de la porte d'accès à la terrasse qui a été relevée. Merci à Harold (l'architecte) d'avoir pensé à en garder quelques spécimens lors des démolitions..
AVANT
APRÈS
Seconde problématique rencontrée et solutionnée : le mur en parpaing semi-porteur rajouté sous l'escalier en renforcement s'est retrouvé décalé par rapport au chevêtre du dit escalier... (Le chevêtre est la pièce de bois, métal ou béton qui referme la trémie d'un escalier). Solution trouvée : un chevêtre plus large hyper costaud...
Les maçons ont donc démonté le pré-coffrage, refait les calculs avec l'architecte, refait les coffrages et enfin coulé le béton !
En voici le résultat fraichement coulé et photographié.
Quand on aime on ne compte pas... Nous sommes donc maintenant prêts pour calculer le prolongement de l'escalier vers le second étage !
Il se trouve que j'ai justement eu cet après midi en cours un petit topo sur le sujet. Je ne résiste donc pas à l'envie de partager avec vous mes propres calculs pour ce second escalier... et j'attends bien évidemment vos corrections !
Avec une hauteur à monter de 2.8 mètres, je choisis une hauteur de marche de 17,6 cm pour obtenir 16 hauteurs soit 15 marches. Avec un giron de 26.6 cm sur 15 marches, j'arrive aux 4 mètres linéaires de mon escalier (399 cm exactement pour cet escalier à 2 quarts tournants à marches balancées, avec une trémie de 2*2 mètres). Et j'obtiens un ratio de 61.8 par la formule de Blondel ! (cf message de la semaine passée).
Serait-ce trop beau pour être juste ?
Moins technique mais travail d'artiste pour cette reprise de briques sous le linteau de la porte d'accès à la terrasse qui a été relevée. Merci à Harold (l'architecte) d'avoir pensé à en garder quelques spécimens lors des démolitions..
AVANT
APRÈS
Et enfin quelques photos de la pièce la plus avancée et la plus chère du chantier... la cave !